Monday, September 26, 2005

La jeune fille et la licorne


La jeune fille et la licorne

La Licorne


Seules les vierges pouvaient

faire venir à elles les licornes....


"La Licorne en captivité", fin XVème sièvle/début XVIème

Eurydice-Sophia de Mello Breyner Andresen


Obrigado o Polux por me ter dado este poema

Eurydice

O teu rosto era mais antigo do que todos os navios
No gesto branco das tuas mãos de pedra
Ondas erguiam seu quebrar de pulso
Em ti eu celebrei minha união com a terra


Sophia de Mello Breyner Andresen



Traduction de l'article:

Eurydice

Ton visage était plus ancien que tous les navires
Dans le geste blanc de tes mains de pierre
Des vagues s'élevaient dans la brisure de ton poignet
En toi j'ai celebré mon union avec la terre

Sophia de Mello Breyner Andresen





Friday, September 23, 2005

Nova visao do Orpheu e da Eurydicia


Pensei em uma nova visao para a historia do orpheu e da Eurydicia...E se o Orpheu voltou o olhar para tras porque desconfiava na Eurydicia? Para ser segur que ela o seguia? E ficando no inferno a Eurydicia poderia ser liberada desta desconfiança onde o Orpheu a tinha...

Eis as palabras que eu escrevia para uma cansao que eu chamei "Um mar de liberdade":

"O Orpheu que vinhas buscar menos do que o Amor
Deixando-me no Inferno
Destes-me um mar de Liberdade
Um mar de Verdade
Sobre o mundo e os homens.

O Orpheu que vinhas buscar mais para ti que para nos
Deixando-me no Inferno
Destes-me um olhar mais libre e mais certo
Mais certo para esculher
As obscuridades que nunca voltarem atras".



Traduction de l'article:

J'ai pensé à une nouvelle façon de voir le mythe d'Orphée et Eurydice...Et si Orphée s'était retourné parce-qu'il n'avait pas confiance en Eurydice? Pour être sûr qu'il la suivait? Et restant en Enfer Eurydice pourrait être libérée du lien de la méfiance d'Orphée?

Voici les paroles que j'ai écrit pour une chanson que j'ai apellé "Un Océan de Liberté":

"O Orphée qui venait chercher moins que de l'amour
Me laissant en Enfer
Tu m'as donné un océan de liberté
Un océan de vérité
Sur le monde et les hommes.

O Orphée qui venait chercher plus pour toi que pour nous
Me laissant en Enfer
Tu m'as donné un regard plus libre et plus averti
Plus averti pour choisir plutôt que toi
Les tenèbres qui elles ne se retournent jamais".

Thursday, September 22, 2005

Pessoa


Citations, Fernando Pessoa

"Et puis, la fenêtre fermée, la lampe allumée
Sans rien dire, sans penser à rien, sans dormir,
Sentir la vie couler en moi comme un fleuve dans son lit,
Et là dehors un grand silence comme un dieu qui sommeille".

"Au bout du compte, les étoiles ne sont rien qu'étoiles
Et les fleurs rien que fleurs
Ce pourquoi d'ailleurs nous les apellons étoiles et fleurs"

"Mais comme l'essence de la pensée n'est pas d'être dite, mais d'être dite, mais d'être pensée
Ainsi l'essence de la réalité c'est d'exister, et non d'être pensée,
Ainsi tout ce qui existe, tout bonnement existe".

Wednesday, September 21, 2005

Dentro do Mosteiro

Dentro do Mosteiro

Pitoes das Junias



A Cascata

O Mosteiro de Pitoes das Junias



A Igreja

O Tras-os-Montes


Todo começou e escalhar acabara neste Tras-os-Montes onde me sinto tao leve e no mesmo tempo tao profundamente presente. Noutras cidades, notros lados tenho o sentimento que a paisagem apareça como, um cenario que acabara cum a minha morte.

Màs la em Tras-os-Montes parece-me que as montanhas sao preservada desta visao egoista tao humana da vida e abrem-se atè um silencio et uma paz neste renascimento na natureza, neste vestigios do tempo encontrados por acaso numa vale que parece dizer que muitos passaram antes de nos et que jà todos os esquacerao, deixaodao a natureza tudo recovrir, a imagem destas campas nos Mosteiro de Pitoes ,et este pensamento acalma muito a minha alma.

Traduction de l'article: "Tout" commença et peut-être finira dans ce Tras-os-Montes où je me sens si leste et au même temps si profondément présente. Dans d'autres lieux, dans d'autres villes, j'ai le sentiment que le paysage m'apparaît comme un décor de théâtre qui s'achèvera avec ma mort.
Mais là, à Tras-os-Montes, il me semble que les montagnes sont comme préservées de cette vision égoîste tellement humaine de la vie et qu'elles s'ouvrent jusqu'à un silence, une paix dans cette renaissance de la nature, dans ces vestiges du temps rencontrés par hasard au creux d'une vallée qui semblent dire que beaucoup déjà avant nous ont passés et que déjà ils n'existent plus pour personne, laissant la nature toute recouvrir, et tout emporter, à l'image des sépultures du Monastère de Pitoes das Junias, et cette pensée apaise tant mon âme.